Le Centre d’études politiques de Jérusalem a déclaré qu’en mars, 22 Palestiniens ont été tués, dont 12 d’entre eux lors de leur participation à la grande marche du retour sur la frontière de la bande de Gaza, dont 5 enfants et 11 Palestiniens de Cisjordanie occupée.

Le centre a indiqué dans son rapport mensuel que 403 palestiniens ont été tués depuis la proclamation de la ville de Jérusalem, en tant que capitale de l’occupation, le 6 décembre 2017, dont 88 enfants, 11 femmes et 6 handicapés. 21 résistants  sont morts au cours de la préparation et de l’entraînement, 43 décès à cause du bombardement israélien, 7 sont morts dans les prisons de l’occupation, tandis que Fadi al-Batsh originaire de Gaza a été assassiné en Malaisie.

L’étude statistique préparée par le PCHR a indiqué que 241 manifestants sont morts lors des marches du retour à la frontière-est de Gaza, qui ont débuté le 30 mars 2018, en même temps que la Journée de la Terre, à la fin du mois de mars 2019, dont deux journalistes, 3 membres du personnel médical, 88 enfants mineurs dont 64 tués pendant leur participation aux activités pacifiques de la grande marche du retour.

9 prisonniers ont été tués après avoir été arrêtés par l’armée d’occupation, soit 219 morts du mouvement captif depuis 1967, les derniers d’entre eux étant les prisonniers Fares Baroud et Yasser Hamed, qui sont morts en février 2019. L’étude a également confirmé que les forces d’occupation détiennent les corps de 27 martyrs, depuis la reconnaissance par le président américain Doland Trump  de Jérusalem comme capitale de l’entité occupante israélienne.