Bachir Djarallah, conseiller de la Ligue des parlementaires pour al-Quds et la Palestine et ancien membre de l'Assemblée nationale populaire algérienne, a déclaré que "dans chaque tournant historique où la conscience humaine se tient aux côtés de la vérité et déclare sa résistance et son affrontement contre l'injustice, apparaissent des actes outrageants de la part des ennemis de la dignité humaine et des praticiens de la tyrannie qui violent les valeurs et principes moraux. Ils menacent et intimident chaque individu libre et noble sans aucune légitimité morale ou internationale, poussés par leurs tendances brutales dépouillées de toutes les valeurs civilisées."

Il a ajouté que "la décision du département du Trésor américain de sanctionner le leader distingué, le président Hamid bin Abdullah Al-Ahmar, et de le qualifier de soutien au terrorisme en raison de sa position courageuse aux côtés des droits palestiniens et de son opposition à l'agression brutale contre le peuple palestinien est une manifestation dégoûtante de ces actions honteuses que l'humanité rejette. Elle ne pourra jamais constituer un événement empêchant les individus de soutenir les opprimés et de continuer la lutte et le sacrifice pour élever la voix de la vérité et confronter le mensonge et ses partisans, peu importe le coût à payer."